Thème « colonie de vacances, centre de loisirs »
Zou s’apprête à partir en colonie de vacances. Il veut à tout prix éviter de faire bébé mais, en même temps, il sait que tous ses bisous quotidiens vont lui manquer : ceux du soir, ceux du matin, ceux pour rien… Ne t’inquiète pas, Zou, disent Papa et Maman, on a une solution. Et les voilà qui confectionnent une énorme provision de bisous. Zou n’aura qu’à ouvrir sa boîte à bisous quand il se sentira seul. Mais la boîte réserve une surprise…
Vous posiez-vous aussi la question : où vit Zou ? La réponse est dans ce livre. Zou vit dans un monde de zèbres ! Ses voisins sont des zèbres, ses amis sont des zèbres… Façon de dire, pour Michel Gay, que nous sommes tous un peu coquins, un peu voyous, bref un peu tous de drôles de zèbres.
Des invitations, des amitiés nouvelles, un mois excellent, voilà ce que son horoscope a promis à Debbie. Mais peut-être les centres de vacances échappent-ils à l'influence des planètes. Pour l'instant, en fait d'amitié, elle n'a trouvé qu'Aurélie et Magali, qui n'hésitent jamais à lui faire sentir quand elle est de trop. Et ce sont elles qui reçoivent des invitations, et même des déclarations d'amour qu'elles trouvent, le soir, sur leur oreiller. Quand on n'aime pas trop la piscine, ni la balle au prisonnier, quand on préfère se mettre à l'écart soi-même avant que les autres ne vous oublient comme une vieille chaussette, est-ce qu'on a une chance de plaire à quelqu'un ? Debbie décide de rester confiante. Aujourd'hui, c'est mercredi, et mercredi, c'est le jour de la boum. Il va peut-être enfin se passer quelque chose.
Quand la mono du centre aéré a demandé ce qu’on avait comme Passion pour animer son propre Atelier Création et Découverte d’Activités Ludiques, Sportives et Artistiques, Gaspard a répondu « Haïku ».
Ça commençait très mal. Les haïkus, les autres ne savaient même pas ce que c’était et une grosse brute l’a surnommé « Aïe-mon-Kiki » et traité de tapette.
Tant mieux, après tout. Parce que en vérité, cette Passion, Gaspard ne souhaite la partager avec personne. Il souhaite rester seul avec elle. Avec elle et son chagrin. Avec elle et Léo. Personne ne le fera changer d’avis. Même pas cette fille en survêtement violet qui propose « Charlotte au chocolat ».
Dans son journal, Nicolas partage ses impressions d'une colonie de vacances, légèrement hors du commun... Parfois, c'est précisément ce qu'il faut pour dégourdir le plus engourdi des garçons...
Éléonore a disparu dans la nuit et personne n’est vraiment étonné. Surtout pas Clara qui a tout vu, tout entendu. Dès le début de la colo, Lilas et sa petite bande ont pris Éléonore pour cible. Ils l’ont d’abord appelée Babar, puis ils l’ont bousculée, malmenée, et ils ont fait de sa vie un enfer. Clara a observé de loin leurs petits jeux cruels, sans dire un mot, sans intervenir. Comme tous les gens de la colo, elle a même fini par s’habituer, à trouver normal que l’on s’acharne sur cette fille. Elle a tout vu, tout entendu. Et aujourd’hui, Éléonore a disparu…
À la colonie, les autres trouvaient cela vraiment très drôle, de les laisser tous les deux seuls sur l’île aux Boucs, nus, pour la nuit. Lui n’était pas très costaud. Elle ne savait pas nager. Ce qui n’était pas prévu, c’est que Laura et Howie s’échapperaient. Sans argent, sans vêtements, sans nulle part où se réfugier, et ne pouvant compter que l’un sur l’autre. Maintenant, la police, leurs parents, tout le monde les cherche. Eux, ils se sont trouvés. Mais jusqu’où ?